Danganronpa: l'école du désespoir
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 Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]

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Kirei Jinsei

Kirei Jinsei


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MessageSujet: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeDim 24 Nov - 0:51

Je ne sais pas où commencer. Tellement de choses se sont produites et je ne sais pas quoi en penser. Je suppose que ça serait idéal de commencer par le commencement, évidemment, puis poursuivre en ordre chronologique. Donc, je me lance…

D’abord, le banquet. Ce fameux banquet qu’on attendait tant. Eh bien, je peux vous dire, c’était merdique. J’y suis  allé et je me suis fait discret : en fait, je suis resté à côté de la porte, prêt à partir. Franchement, je ne serais pas resté là si ce n’était pas pour l’annonce surprise de la soirée : notre ami le nounours nous a avertis que nous étions coincés ici, et qu’il fallait se tuer pour sortir d’ici. Il y avait eu une myriade de réactions, toutes plus imbéciles que les autres, mais je ne vais pas m’étirer là-dessus, surtout que je ne suis pas resté assez longtemps pour tout bien décrire. Je suis parti rapidement après, parce que je ne pouvais pas les observer manger. Sérieusement, je ne crois pas qu’on devrait avoir faim après une annonce pour le massacre à venir. C’est abrutissant de voir un tel comportement. Par contre, le pire est encore à venir, parce que quelqu’un a été assez con pour mordre à l’hameçon, à tomber dans le piège.

Alors, il y a eu un meurtre. Le lendemain. C’est rapide, comme temps de réaction, non? Encore une fois, je ne m’étire pas trop sur le sujet. C’est impossible; Nous sommes tombés dans son jeu dans un temps record. Il nous dit de tuer, et quelqu’un tue. Pitoyable. Cependant, le meurtrier n’a pas été libéré, tel que promis. Le jeu s’étirait encore, et nous, nos vies, notre destin, étions tous concernés. C’était vraiment devenu «chacun pour soi», et il faut savoir être débrouillard pour survivre…

Donc, l’investigation a commencé. Encore là, mes congénères étaient inutiles (Mais ce n’est pas différent de leur habitude…). Donc, j’ai tout fouillé. Tout seul. Ce n’était qu’une question de minutes avant que je ne comprenne tout ce qui s’était produit, ou presque. C’était franchement ennuyant. Si je vais être obligé de répéter le processus plusieurs fois, je vais peut-être laisser les autres faire le travail et prendre une petite pause. Non, c’est faux. Je ne peux pas me permettre de me vouer à une mort certaine. Ces abrutis ne sauront rien faire, et nous serons condamnés. Je n’accepte pas  ce destin. Je dois continuer à vivre, pour Emi. Enfin, pour moi aussi, mais vous comprenez le sentimentalisme derrière mes réflexions. Mais là, je divague. Revenons-en à l’essentiel : j’avais résolu le meurtre. À présent, il fallait que je mette mes preuves à l’épreuve…

Puis, nous en sommes arrivés au tribunal. Là, ce fut le chaos. Une bande d’illettrés qui n’avaient pas compris comment trouver des indices pertinents. Des griffures, des cheveux, des cendres, c’était tout. Si on enlevait mes indices de l’équation, ils seraient fichus. Tel que prévu… Donc, j’ai tout expliqué, et j’ai condamné une certaine Kiki Wasaki à la mort. En plus, j’ai déniché deux traîtres, ou du moins une de ces deux traîtresses. Monokuma nous avait donnés un indice quant à leur identité, et j’ai fait le lien. J’ai accusé Alice, et ce putain de sans cervelle qu’est Kenzo Tsuguchi a osé me contredire. Il n’avait même pas de preuves! Si seulement il était capable de réfléchir, au lieu de mélanger ses émotions dans tout ce qu’il fait. Après avoir réellement condamné Kiki à la mort, après que nous ayons tous votés pour qu’elle soit coupable, Monokuma a annoncé deux choses : son exécution et les deux traîtresses. Je vais commencer par les traîtresses. C’était en fait Alice, et Helinca Onpu. Vous voyez, j’avais raison. Mais je m’en fous. En fait, je m’en fous de tout ce qui s’est produit : le banquet, le meurtre, le tribunal, tout. Même cette exécution…

Enfin, cette fameuse exécution. Tout le monde était choqué, comme s’ils ne l’avaient pas vue venir. Sérieusement, c’était écrit dans notre manuel électronique de l’étudiant. S’ils avaient pris cinq minutes pour lire les règles, comme ce dont j’ai fait, ils auraient tout compris. Donc, évidemment, je ne pleurais pas la mort d’une inconnue, d’une meurtrière. Une meurtrière manipulée, mais une meurtrière tout de même. Alors, nous sommes montés dans une montagne russe, et elle s’est faite pulvérisée. Voilà, je l’ai dit. Et je m’en fous toujours. Ce n’est pas la première personne que j’ai vue mourir, et ça ne sera évidemment pas la dernière…

Par conséquent, je n’ai plus le temps, ou l’envie, pour socialiser, pour me faire des amis et rigoler ensemble, comme ce que Kyoki voudrait. Merde, je me demande bien comment elle se sent, en ce moment… Mais non, je n’ai pas le temps pour me concerner des autres non plus. Alors, je cherchais un endroit pour être seul, tranquille avec mes propres pensées. J’avais fouillé le deuxième étage durant la nuit, vu que je ne dormais pas de toute façon, pas parce que j’avais des remords, ou quelque connerie dans ce genre, mais plutôt parce que je me suis habitué à dormir très peu, ainsi qu’à manger et boire très peu, mais ça, c’est une longue histoire… Donc, où en étais-je? Ah oui, le deuxième étage. En fait, il n’a pas grand-chose d’intéressant. Une piscine, une bibliothèque, des salles de classes. Rien d’impressionnant, quoi. Donc, je me suis décidé à fuir cet endroit, avant que d’autres curieux n’apparaissent. Comme je l’ai dit tantôt, je ne vraiment pas parler à qui que ce soit. Je voulais simplement être seul…

Donc, j’ai pensé à d’autres endroits pour m’isoler. Ma chambre? Certes, mais je vais finir par m’emmerder. Le réfectoire? Oublions ça, il y aura du monde certain. Les salles de classe? Même dans des circonstances normales, c’est des endroits à éviter. En fait, je pourrais poursuivre ma liste pour une bonne éternité, mais je vais tirer ma conclusion immédiatement : le gymnase. Deux raisons m’ont amené vers ce choix. Primo, si, par un heureux hasard, quelqu’un voulait s’entraîner, il y avait désormais les vestiaires et la piscine pour faire ça. Donc, moins de personnes au gymnase. Secundo, le podium de Monokuma s’y trouvait, et je suis certain que le nombre de personnes qui voulaient vraiment rester dans la présence de leur «Directeur» était restreint. Alors, encore moins de personnes au gymnase. C’était presque parfait, hormis le fait que c’était un fichu gymnase. Il me semble que je vais passer le restant de ma vie dans cette foutue salle…

Alors, j’étais, tel que planifié avec ma merveilleuse déduction, dans le gymnase. Par contre, le même problème se présentait que dans le scenario de ma chambre : je n’avais rien à foutre. Je pourrais toujours commencer à réciter tous les décimaux connus de pi, mais ça serait trop long… Et la dernière fois que j’ai fait ça, c’était… Merde, pourquoi ai-je pensé à ça ! Lunatique comme je suis, je m’assis sur un banc dans le gymnase, question d’être confortable pendant mes «crises de nostalgie», et je laissai libre cours à la folie de mes souvenirs… Merde, c’est chiant d’avoir une mémoire parfaite…


*****

Encore une fois, je me retrouve ici, dans le merveilleux monde des retours en arrière. J’en suis rendu à un moment clé de ma vie, mais toujours aussi merdique. J’avais maintenant six ans, et j’étais encore coincé dans ce merdier d’orphelinat. En fait, il n’y avait pas eu beaucoup de changements depuis un an. Toujours aussi déprimant. Par contre, je passais légèrement plus de temps avec Emi. Je dis légèrement, parce que j’étais encore trop con pour apprécier mon entourage. Enfin, pas mon entourage, mais bien elle. Depuis quelque temps, les responsables de l’orphelinat ont promis de doubler leurs efforts pour me trouver des parents, car ils ne voulaient plus gaspiller mes «talents». Ils voulaient que j’aille à l’école, que je me trouve un emploi, que je réussisse dans la vie. Personnellement, je m’en foutais, comme toujours. Ce n’était que des paroles balancées dans l’air, sans sens, sans valeur, sans impact. Par contre, Emi, optimiste comme toujours, s’intéressait à l’idée. Ses yeux mauves brillaient à tous les coups qu’on prononçait le mot «famille» ou «parents». Donc, je m’obligeais à feindre un semblant d’intérêt, ne serait-ce que pour ne pas détruire ses espoirs.

Donc, un jour, je passais le temps en comptant les décimaux de pi. À six ans, je les connaissais déjà tous. Il n’y avait vraiment rien à faire, comme toujours, alors, je me lançai dans ce long décompte : 3.14159… Quelqu’un, une surveillante de l’orphelinat, interrompit mes pensées :

-Humm, Sho?

Je l’ignorais en lui tournant le dos. …265358… Elle persistait dans ses appels :

-Sho, peux-tu m’écouter?

Non, je ne le pouvais pas. …979323… Elle poursuivit son bla-bla inutile :

-J’ai une bonne nouvelle pour toi, Sho…

Je m’en foutais, laissez-moi tranquille. …846264… Elle conclut :

-Tu vas avoir des parents, Sho!

…338327950… Attends, quoi? Des parents? C’était assez pour attirer mon attention, alors, je pris la parole :

-Des parents?

-En fait, un parent. Un gentil monsieur est venu visiter, et il a décidé de t’adopter. Veux-tu venir le rencontrer?

-Non. Ma réponse était assez simple.

-Pardon? me demanda-t-elle.

-J’ai dit non. Je ne veux pas être adopté. N’avais-je pas été assez clair la première fois?

-Ah bon… Es-tu certain?

-Oui.

Elle resta silencieuse, puis partit. Sûrement pour aller consulter les gens responsables de l’adoption et ce «gentil monsieur». Mes intentions étaient bien logiques. Si je me faisais adopter, je serais obligé d’abandonner Emi, et je ne pouvais pas me permettre de faire ça. Elle méritait d’avoir des parents bien plus que moi. J’aimerais bien mieux rester dans ce merdier que la laisser ici, toute seule. Je ne voulais pas que nous soyons séparés. Par contre, au retour de la surveillante, accompagnée du consultant en adoption et du dit parent, qui n’avait vraiment pas l’air si terrible que ça, ils avaient déjà compris le problème, et cet homme, cet inconnu, avait accepté de faire un deux-pour-un et d’adopter Emi aussi. Un miracle, quoi. Une rapide pensée traversa ma tête : Est-ce que c’est sain d’esprit que l’amour de ta vie soit aussi ta sœur, même si ce n’est que par adoption? Par contre, je chassai vite cette idée de mon esprit. Pour une fois, j’étais réellement heureux. Si seulement je savais ce qui m’attendait…


*****

Le retour à la réalité, maintenant. J’entendis un bruit, et je fis un léger sursaut. J’avoue que depuis l’annonce des «meurtres pour la liberté», j’essaie d’être sur mes gardes, encore plus que d’habitude. Était-ce vraiment un tueur, ou bien une personne qui s’est malencontreusement retrouvée au même endroit que moi? Qu’importe la réponse, ça ne me dit rien d’amusant…
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MessageSujet: Re: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeDim 24 Nov - 12:31

Pouah ! Alors là, ça craint. J'ai trouvé le moyen de me renverser du thé sur moi. Du coup.... c'est brûlaaant ! Je me suis empressée de retirer mon sweet et mon T-shirt. Le pire c'était que je les aimais bien moi, ces vêtements... Heureusement que j'étais dans ma chambre, aussi... Je ne m'imaginais même pas me déshabiller en publique ni garder mes vêtements brûlant de thé. La honte... J'ai farfouillé dans mon bazar qu'est ma chambre pour essayer de trouver des mouchoirs. Et je suis tombée sur une serviette de bain. Bon, ça f'ra l'affaire. On était pas non plus dans un hôtel cinq étoiles grand luxe. J'ai retourné mon sweet pour l'éponger autant que je le pouvais. Merde ! La tâche était toujours là... Et pis je m'y connais pas, moi dans les tâches tenaces ! Pour moi, on mets ça dans une machine, on appuie sur un bouton et hop ! Lavage automatique. Mais où tu veux trouver une machine ? P'têtre au gymnase, nan ? M'enfin, j'allais pas me lever, sortir de ma chambre, marcher jusque là-bas, trouver une machine à laver, fourrer mon linge dedans et attendre. Attendre. Attendre que la machine ait finis. Bon, j'vais prendre un livre et pis voilà. Mais lequel prendre...? J'ai fouillé pendant cinq bonnes minutes à la recherche d'un livre. Faudra que j'range ma chambre, un d'ces jours... Mais j'dis ça, alors que je suis sûre de ne pas le faire après... Je me comprends moi même... Bref, j'avais pris "Meurtre = Indices = Mystères" Il avait l'air bien, celui-là. J'ai ensuite attrapé des écouteurs et mon fidèle mp3. J'ai cherché "Paramore - Ignorance" Un bon morceau.


J'étais tellement à fond dedans que j'ai faillis sortir de ma chambre, comme ça sans T-shirt et en sous-vêtement. Bien joué ! Un peu plus j'm'affichais devant tout le monde ! Ouah. De mieux en mieux. Je suis vraiment douée ces temps-ci. Bref, je suis retournée à reculons vers mon armoire. J'ai fouillé dedans jusqu'à trouvé un maillot à brettelles bleu et une veste grise. Le maillot était un peu trop décolleté pour moi, alors valait mieux mettre une veste par dessus. Bref, munie de mon livre, des vêtements sales et d'mes écouteurs je suis sortit dans le couloir. J'ai descendu l'escaliers qui menait tout droit vers le gymnase d'un pas nonchalant mais avec cette grâce qui m'énervait. Quoi que je fasse, fallait que ce soit gracieux... Et ça m'énervait. J'ai ouvert les lourdes portes du gymnase et je me suis avancée. Il faisait frais. J'ai tourné la tête et là... J'ai eu la surprise et la poisse de rencontrer quelqu'un. Je ne m'y attendais tellement pas que j'ai sursauté en faisant tomber mon livre. La personne avait l'air de réfléchir... ou de dormir. Enfin bref, j'me fichais de savoir s'il était bien tranquille en train de dormir. Ou, je dis bien "était". Parce que je l'ai réveillé. Je suis restée là, immobile à le regarder en fronçant les sourcils, m'attendant presque à ce qu'il se jette sur moi pour me tuer. J'avais pas peur. Juste méfiante. Je me suis baissée pour reprendre mon bouquin. Oh nan ! En tombant, quelques pages s'étaient pliées... M'enfin, ça pouvait attendre. Pourquoi il était là, lui ? Il m'avait fait peur ! Je m'attendais pas à voir quelqu'un juste à ma droit en rentrant, assis sur un banc à somnoler ou je n'sais quoi encore. Je l'ai observé. Pas méchant. Vêtements originaux. L'air tout aussi surpris pendant quelques secondes. Il devait se demander c'que je faisais là, moi aussi. Il avait qu'à regarder les vêtements sales dans mes bras et voilà.

-Ah... J'pensais pas voir quelqu'un d'autre, ici.

Voilà. Tout ce que je trouvais à dire. Faire la lessive devant quelqu'un d'autre... Honte à moi... Je me suis retournée. Je n'avais pas envie de parler plus longtemps. En plus ce mec m'avait l'air hautain, ou quelque chose comme ça. Genre, comme s'il me jugeait pas apte à parler avec lui. Bizarre, ce mec... S'il se croyait mieux que tout l'monde, bah tant pis pour lui. Qu'il reste seul. Mais c'était l'impression que ça donnait, en le voyant assit là. Je suis allée jusqu'aux vestiaires. 'Devait bien y avoir une machine à laver, là-dedans ? Finalement, j'en ai pas trouvé. Je suis retournée voir l'autre gars. P'têtre qu'il savait où trouver une machine à laver dans tout ça. Mais j'avais aucune envie de parler...Tant pis. J'ai retiré mes écouteurs tout en marchant vers lui.

-S'cuse. Tu saurais pas où y aurait une machine à laver ?

Et au même moment, la porte s'est ouverte. Une personne est rentrée. Une fille à en croire ses cheveux. Je n'ai pas tout de suite tourné la tête vers elle. J'étais bien obligée, t'façon... Je l'ai tout de suite reconnue. Cette fille... c'était Monalia.
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MessageSujet: Re: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeDim 24 Nov - 15:32

Mon katana décoratif à la ceinture je m'amusais à le sortir et à exécuter quelques mouvements dans ma chambre ... Je faisais des mouvements sans toucher une seule fois les meubles aux alentours ... Un coup perçant, un tranchant, cisaille .Bref. Je m'y connaissais une arme si tu ne l'a connais pas tu ne combat pas avec elle ... Un grincement de porte à côté de ma chambre, je regardas par le trou de ma serrure, c'était Maika en sous-vêtements, une fouineuse ..., Se rendant compte apparemment quelle était ... Comment dire ... Un peu dévêtue elle rentra dans sa chambre pour se revêtir de vêtements plus seyants... Elle ressortit quelques minutes plus tard, des vêtements sales à la main, un livre et en plus un MP3 ... Je ne sais pas ce qu'elle va faire mais bon ... Personnellement je n'en ai rien à foutre ...

Par curiosité je la suivie doucement même si elle se retournait j'arrivais à disparaître de sa vue juste avant ... Elle entra dans le gymnase je la suivie jusqu'à la porte où, après quelle soit entrée, je restas à observer ... Un jeune homme qui semblerait-il aurait été surpris de l'arrivée de Maika ... Ridicule ... Ce n'est qu'un livre qui est tombé ...

Mais vu son air un peu endormit il semblerait s'être endormit il y aurait peu de temps ... Ou alors de la somnolence ... Bref quelque chose qui n'est pas ordinaire ... Bon dormir c'est quelque chose d'ordinaire ... Tout le monde se fait chier à un moment ou à un autre...

Maika semblait surprise d'avoir rencontré quelqu'un d'autre en ses lieux, elle se croyait seule au monde ou quoi ...?

-Ah... J'pensais pas voir quelqu'un d'autre, ici.

Pff désespérant ...

Le jeune homme me disais quelque chose ... A mais oui ! Au tribunal c'est lui qui avait tout résolu ! Le génie ...
Maika se retourna et vint près de la porte à nouveau pour chercher quelque chose et moi m'évaporant dans une ombre pour rentrer dans le gymnase, pour éviter Maika ... Apparemment elle ne trouva pas ce qu'elle cherchait parce qu'elle revint quelques minutes plus tard, moi je réapparus derrière la porte une fois la détective rentrée à nouveau dans le gymnase ...
Bon c'est soûlant à la fin c'est échanges là Merde !

-S'cuse. Tu saurais pas où y aurait une machine à laver ?

Une machine à laver hahaha quelle bonne blague c'est cela quelle cherche depuis tout à l'heure ...?
hahahahahaha pardon c'est nerveux ...

Je commençais à en avoir marre d'attendre et j'entra dans le gymnase par la porte... Mon katana était toujours à ma ceinture au cas où ... Ouf... La porte se referma violemment une fois que je fus à l'intérieur ... Sérieusement ... Je vérifia si je pouvait à nouveau ouvrir la porte rien ni faisait elle était bloquée ...

"Mince ... Décidément ... C'est pas moi je vous préviens ..."

Les deux personnes avaient l'air désespérée par mon acte ... C'est pas ma faute à moi ...
Un génie et une curieuse je pouvais pas mieux tomber ... ... C'est soûlant ... Je veux pas être enfermée avec c'est guignols moi MERDE!

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MessageSujet: Re: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeDim 1 Déc - 0:27

Il y avait eu un bruit. Je l’ai déjà mentionné, mais je suppose que ça en vaut la peine pour que je me répète. Plus de relaxation. Plus de rêves. Je vais être coincé à interagir avec quelqu’un, et cela ne me tente aucunement. Je n’ai pas vraiment le choix, en bout de ligne, car je suis tout de même enfermé dans une école-boucherie avec quatorze… euh, désormais douze… autres élèves. Bref, le bruit en question était un livre qui tombait et, après mon léger sursaut, je remarquai la propriétaire dudit livre. Je l’avais déjà vue auparavant, lors du banquet en fait. C’était une version moins extrême de moi-même : assez observatrice, qui n’a pas l’air trop sociable. Sans doute moins intelligente que moi, mais, sans vouloir me vanter, je crois que cette règle s’applique à tous. Somme toute, j’ai été chanceux de tomber sur une personne plus ou moins sociable, parce qu’il y a bien plus de chances qu’elle me laisse tranquille. Notre rencontre était assez drôle, par contre, parce que pendant un moment, nous nous fixions, en attendant de voir qui réagirait en premier. Je dis drôle, car c’est presque pathétique de voir à quel point nous sommes tous rendus paranoïaques. Cette fille tenait des vêtements salis dans ses bras. Normalement, je m’en foutrais, je ne réagirais même pas à son apparition, mais maintenant, tout le monde fait un saut lorsqu’il y a un évènement inattendu. C’en est presque triste. Alors, étant à présent capables de croire que l’autre n’était pas une menace, nous pouvions commencer à parler. Mais ça ne me tentait pas. Elle non plus, vu la seule phrase qu’elle me dit :

-Ah... J'pensais pas voir quelqu'un d'autre, ici.

Je lui répondis simplement, presque (non, absolument) froidement :

-Moi non plus.

C’était la vérité. Je n’aurais pas pris le temps d’éliminer systématiquement tous les endroits de l’école afin de trouver un endroit sympa pour être seul si je voulais voir quelqu’un d’autre ici. J’exagère peut-être lorsque je dis «éliminer systématiquement», mais c’est quand même décevant. Une vraie perte de temps. Par contre, et ce, à mon bonheur, elle ne porta pas plus d’attention à mon égard et partit vers les vestiaires du gymnase, livre et vêtements en main. Que cherchait-elle, au juste? Veut-elle tenter de nettoyer ses habits ici? Quelle ignorance. N’importe qui ayant exploré un peu les lieux savait déjà qu’il n’y a qu’une seule pièce avec des machines à laver, et elle n’était pas ici. Bon, je suppose que ce n’est pas tout le monde qui a autant de temps à perdre que moi, alors c’est peut-être normal qu’elle ne connaisse pas encore les lieux très bien encore, surtout que nous sommes ici depuis trois jours seulement. Cependant, je m’en fous. Elle m’a dérangé, je me plains. Je me plains dans ma tête, mais je me plains tout de même. Elle gaspille son temps, et, surtout, le mien. Bon… j’ai fini de me plaindre, on peut passer à autre chose. Cette fille était partie depuis un certain temps déjà. Peut-être cherche-t-elle toujours sa machine à laver inexistante? Bon, la voilà qui revient. Vu se vêtements, toujours sales, elle n’a pas trouvé ce qu’elle cherchait (évidemment). Maintenant, elle peut repartir, déçue, et me foutre la paix, non? Eh bien, je peux vous dire que non. Elle s’est lentement approchée de moi et m’a dit :

-S'cuse. Tu saurais pas où y aurait une machine à laver ?

Bon, comme je l’avais déjà deviné depuis un bout de temps, elle cherchait une machine à laver. C’est un peu décevant. Je ne sais pas, moi, elle ne pouvait pas trouver quelque chose de plus pertinent à faire, où un endroit plus pertinent pour faire ses choses inutiles? Mais enfin, ça m’importe peu. Elle s’est retrouvée ici, et maintenant elle me pose une question inutile. Évidemment, je savais où trouver des machines à laver. Mais est-ce que j’allais perdre mon temps à lui répondre? Allais-je mentir, pour la laisser se débrouiller seule? Non, c’est bien moins marrant. Une belle description détaillée de l’endroit où se trouvent les machines à laver seraient bien plus intéressant. Ça lui montrera à quel point elle a perdu son temps. Bon, je sais très bien que l’humiliation ne fait pas habituellement parti de mes passe-temps favoris, mais il faut s’adapter à la situation, je suppose. Cependant, avant de répondre à sa question, j’ai une autre plainte mentale à faire : quels sont ces vêtements de merde? Je ne l’avais pas remarqué avant ce moment, mais à présent qu’elle est plus près de moi, je viens de réaliser à quel point ils sont voyants. Et je dis bien que des vêtements seyants sont merdiques, vous avez très bien lu cet énoncé venant de la part d’un homme. Je ne pense que des vêtements plus chics, plus décents, plus élégants, plus… enfin, vous me comprenez, merde! Une fille élégante, c’est mieux qu’une fille qui montre sa peau! Peut-être bien que ce raisonnement vient du grand nombre de prostituées que j’ai vues lors de mon «séjour» dans la rue, mais enfin, je m’éloigne du sujet. En fait, c’était quoi le sujet, déjà? Ah oui, elle voulait savoir où se trouvait les machines à laver. Ayant enfin choisi l’option «humiliation», je lui répondis:

-En sortant des dortoirs, il y a une sale à ta droite. Elle est remplie d’une douzaine de machine à laver, au moins.

Je l’avoue, ce n’était pas la plus grande humiliation du monde. J’aurais pu spécifier qu’il y avait, spécifiquement, quatorze machines à laver. Et j’aurais aussi pu rajouter un «Tu ne l’avais pas remarqué?», ne serait-ce que pour montrer à quel point c’était évident, mais je crois qu’il y a une limite au niveau de snobisme qu’une seule personne peut exercer, même si cette personne, c’est moi. En fait, au cas où je ne l’avais pas mentionné auparavant, je n’ai même pas un si gros égo que ça. C’est plutôt un moyen pour me distancer des autres. Quant à la raison qui me pousse à me distancer, c’est encore secret.

Un autre bruit. Merde. Je me retournais vers la porte, qui s’était enfermée beaucoup plus fortement que d’habitude (les gens ne savent plus comment être subtils, merde!). À ce moment, je vis une autre fille, dont je me souvenais bien, parce qu’elle avait été assez folle pour se présenter comme étant «gardienne des ombres». C’était totalement absurde! Il fallait croire que Monsieur le Principal de Kibougamine a été assez rusé (ou con, c’est selon les opinions) pour se trouver une magicienne, ou une sorcière, ou je ne sais pas trop quoi. Mais bon, hormis son entrée cacophonique, elle semblait avoir fait une petite gaffe, car en essayant d’ouvrir la porte, elle venait de réaliser que celle-ci était bloquée. Parfait! À présent, je suis enfermé avec non pas une, mais deux personnes! Déjà que j’ai été obligé de les rencontrer, maintenant il faut que je les endure! Bon, fini l’isolement, il va falloir que je cesse de faire l’antisocial. Alors, désormais que ses soupçons à propos de notre emprisonnement étaient confirmés, cette nouvelle étrangère prit la parole :

-Mince ... Décidément ... C'est pas moi je vous préviens ...

Ah, c’est bon à savoir, ça! Ou pas. En fait, je m’en fous. Je m’en fous tellement que je serais prêt à dire que c’était la chose la moins pertinente qu’elle aurait pu dire (J’ai l’impression que mon niveau de je-m’en-fous-isme c’est élevé depuis quelque temps…). Alors, ne voulant pas cacher mon exaspération, je laissai échapper un grand soupir, un soupir qui pourrait facilement s’accompagner avec un «Eh merde…», mais j’étais trop paresseux pour parler. Ensuite, je me levai, me dirigeai vers la porte, et, mes mains dans mes poches de pantalons, balançai un grand coup de pied. Pas un coup de pied style arts martiaux, ça non, mais plutôt comme si la semelle de mon soulier allait de percuter contre le visage d’un quelconque figurant, sauf dans ce cas-ci, le figurant est une porte. Ce coup de pied a servi deux choses : d’abord, il m’a permis de confirmer les dires de cette autre fille (aussi figurante, je dois le dire). Ensuite, j’ai pu me défouler un peu. Ce n’est pas mon genre, habituellement, mais les choses sont différentes. Je peux aussi dire que je n’étais pas enragé, alors rien de ce que je venais de faire semblait comme tel. Donc, déçu, mais pas surpris, du résultat de mon coup de pied, j’annonçai :

-Hmm… ça fonctione, d’habitude. Eh bien, tant pis…

Et, retournant vers mon banc, je continuai :

-Alors, on fait quoi maintenant?

[Désolé pour l’attente, je suis assez occupé de ces temps-ci… Aussi, j’aimerais vous prévenir tout de suite que je ne vais plus poster jusqu’à la fin du deuxième tribunal, afin de pouvoir me concentrer sur l’investigation. Désolé encore!]
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MessageSujet: Re: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeDim 1 Déc - 21:15

Ah. Je pensais juste. Ce type était un vrai Monsieur-je-suis-superieur-aux-autres-qui-sont-si-faibles-et-inintéressants. Ouais, bah mon gars va bien te faire foutre ! J'le vois bien sur ton visage. L'exaspération. Rhoo, c'est pas possible. Il a fallut qu'un type aussi débile soit là, au même endroit que moi, comme par hasard... En fait, je crois que l'exaspération était réciproque. Ce mec... c'était le gars typique que je déteste. Monsieur gosse de riche qui fait tout ce qu'il veut parce que personne ne peut lui dire d'arrêter. Monsieur je suis plus intelligent que tout le monde et c'est un fait. Monsieur je n'ai pas d'égale parce que les autres sont tous très en dessous de moi. Monsieur je suis supérieur et les autres sont primitifs. Voyez ? Typique du gars arrogant et imbus de lui même, t'sais... Juste un mot à dire : pi-to-yable ! Tiens ! Il m'a répondu ! Faut croire que je suis pas si inférieur que ça... Oh. Bah oui. C'est logique. Monsieur a déjà fouillé toutes les salles. Monsieur pense que les gens doivent être comme lui et perdre leur temps pour fouiller des salles avec des machines à laver. Super passe-temps, le surdoué ! Fouiller des placards à balais. Ouah. Extraordinairement génial ! Pourquoi j'ai pas fait ça avant ? Je me le demande bien. Sans m'en rendre compte, je pinçais les lèvres sous l'énervement. J'ai resserré plus fort l'étreinte de mes vêtements. On pouvait se foutre de moi, mais fallait pas abuser. Rien que dans son regard j'avais l'impression d'y lire "T'es vraiment qu'une pauvre merde." On me juge de haut ? On ne me connait pas ? Alors on la ferme. On s'est encore observé du regard pendant quelques minutes. Je ne l'ai pas remercié. A quoi bon ? "Oh, merci mec de m'avoir indiqué la salle des machines à laver que toi seul avait découvert ! Tu m'as sauvé la vie !" Nan, mais faut pas rêver non plus. Et là, comme je l'avais déjà dis, la porte s'est de nouveau ouverte. Je n'ai pas tourné la tête aussitôt. Trop énervée. Je l'ai tourné lentement vers l'arrivant... Ah non, arrivante. Une fille aux cheveux rouge. Monalia... Tout de suite après son arrivée, la porte s'est refermée en faisant un gros "boum!" qui a résonné dans le gymnase. J'avais juste envie de dire "Super : Je suis coincé avec deux personnes que je ne connais pas et ne supportes pas !" J'ai froncé les sourcils et l'ai regardé durement. Là revoilà. Monsieur Surdoué à essayé d'enfoncer la porte avec son pied. Génial. Super technique.

-Hmm… ça fonctione, d’habitude. Eh bien, tant pis…

Et tout en retournant vers son banc, il nous demanda :

-Alors, on fait quoi maintenant?

J'ai respiré calmement et sans bruit. Du calme. Je suis juste enfermée avec une demeurée et un surdoué hautain, sinon ça va ! Non ça ne va pas ! Je voulais juste trouver une machine à laver de merde et me voilà enfermée avec deux autres personnes dans un gymnase ! Rien ne va ! J'ai lâché mes vêtements qui sont tombés par terre en un bruit de tissus froissé. C'est pas possible.

-Les fenêtres sont trop hautes et je doute qu'on pourrait faire la courte échelle. Même si on pouvait, je ne le ferai pas. Manque de confiance. Mais les autres portes sont peut-être pas fermées à clés comme celle-là. On peut regardez... De toute façon, on a qu'ça à faire ici...

Je ne les regardais pas. Je me suis retournée pour inspecter les fenêtres. Je n'avais aucune envie de rester ici et c'est ce qui me poussait à réfléchir. Bon. on pouvait dire que ça commençait bien. J'ai testé une autre porte. Fermée. Je l'ai bien secoué mais aucun moyen de l'ouvrir. J'avais une broche dans mes cheveux. Ne me demandez pas comment je sais faire ça. Trop long. Je l'ai détaché de mes cheveux qui se sont ensuite déversés sur mes épaules. J'ai inséré la broche dans la serrure en la faisant tourner à droite à gauche. Mais elle s'est cassé dans la serrure. J'ai pesté en jetant la broche par terre. Super journée... Je n'avais pas d'autres broches, en plus. J'ai tourné la tête vers Surdoué.

-Lève tes fesses et viens m'aider. Je veux tester la petite fenêtre. Si elle, elle est pas fermée, peut-être que les autres aussi. On pourrait fabriquer un escaliers avec des meubles, si elles sont pas fermées.

J'ai soupiré et ai ajouté :

-C'est juste une idée comme ça. Pour l'instant je veux juste tester les fenêtres. Et pour ça, j'ai besoin de toi.

J'ai dis la dernière phrase en y ajoutant un long soupir. C'est la première fois que je demande de l'aide à un type comme ça. Il va s'exciter tout seul en se disant "Ah ! On a toujours besoin de moi ! Je suis trop fort !" Tant pis. J'ai attendu qu'il bouge ses fesses. Je voulais monter sur ses épaules pour tester une petite fenêtre. Si je montais sur ses épaules, ce sera facile. Mais personne ne pourrait passer par cette fenêtre, par contre... Surdoué avait l'air bien bâtit physiquement. Il a des muscles fins cachés sous ce grand manteau. C'est pas un gosse de riche... Il me regarde de haut comme... un chef ? Bizarre... De quoi ou de qui était-il le chef ? Un groupe... En tout cas il avait une réputation. vu la façon dont il se lève et marche, on voit tout de suite que c'est un meneur. Pas un suiveur. Un vrai meneur qui sait diriger un groupe. Comme moi.
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MessageSujet: Re: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeLun 2 Déc - 20:22

Après que la porte se soit malencontreusement refermée sur elle même en me laissant avec ses deux guignols... Un qui se prenait pour la cuisse de Jupiter et l'autre fouineuse de la bibliothèque ... Que du bonheur que peut -il nous arriver de pire hein ? Le jeune homme se leva donna un coup de pied magistral dans la porte mais rien n'y faisait elle ne voulait plus s'ouvrir ...

-Hmm… ça fonctionne, d’habitude. Eh bien, tant pis…

-Au moins tu auras essayé ... Moi je pourr... Non rien ...

Je levas les yeux au ciel en réfléchissant ... Le jeune homme retourna à sa place. Mais quelque chose n'allait pas je sentais que ce jeune homme était ... Bizarre ... Malgré ses airs de je suis un rebelle ... tout allait bien ma fois je pouvais les laisser s’entre-tuer ... Ma "magie" me laissais le pouvoir. Héhéhé non je rigole je ne vais pas les laisser tout seul quand même ... En fait si je le peut mais ce ne serait pas dans mon intérêt de plus, cela attirerait encore plus le mot "meurtrière" de ma personne .

-Alors, on fait quoi maintenant?

Je ne répondit pas à cette question ... Je n'en avais pas envie ...Le gymnase est grand et je décidas de me déplacer dans un coin et de m’asseoir.

-Les fenêtres sont trop hautes et je doute qu'on pourrais faire la courte échelle. Même si on pouvait, je ne le ferai pas. Manque de confiance. Mais les autres portes sont peut-être pas fermées à clés comme celle-là. On peut regardez... De toute façon, on a qu'ça à faire ici...

Maika commençait maintenant à inspecter les fenêtres décidément des idées troubles lui passait par la tête ... Voilà quelle avait l'idée de s'en aller ... Quelle rigolade ...

-Lève tes fesses et viens m'aider. Je veux tester la petite fenêtre. Si elle, elle est pas fermée, peut-être que les autres aussi. On pourrait fabriquer un escaliers avec des meubles, si elles sont pas fermées.

Elle avait l'air énervée la petite fifille ... Pff ... Elle s'adressait au jeune homme je ne suis pas concernée ... Je ne vois pas l'intérêt de me lever et de les aider ...

-C'est juste une idée comme ça. Pour l'instant je veux juste tester les fenêtres. Et pour ça, j'ai besoin de toi.

Une idée me traversa l'esprit mais disparu soudainement ... J'allais m'amuser un peu je crois ...
Je manipula une ombre de façon a faire bouger l'ombre du jeune homme pour imiter Maika ...

Je rigolais dans mon coin et j'intervertit les rôles l'ombre de Maika imitait à présent le jeune homme .
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Kirei Jinsei

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MessageSujet: Re: Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia]   Rats in a cage. [Rp pv Sho, Maïka, Monalia] Icon_minitimeJeu 5 Déc - 0:05

Alors, je commençais, petit à petit, à découvrir de plus en plus de choses à propos de mes deux partenaires de cellule. Je dis cellule, parce que je commence vraiment à ressentir l’isolement, l’emprisonnement, la compagnie forcée, mais aussi la solitude qu’apportait ma situation. Bref, je ne veux pas m’étirer sur un long discours émouvant, portant sur mes émotions et ma psychologie, alors, tel que mentionné précédemment, je vais me concentrer sur les deux autres, là, coincées avec moi. D’abord, cette fille, celle aux vêtements sales, n’apprécie évidemment pas les types hautains. Elle doit être comme cet autre con que j’ai rencontré ici : le type de personne qui se fâche lorsqu’il réalise qu’ils ont fait une erreur, qui ne veut pas être corrigé, qui n’accepte pas l’existence d’une meilleure personne et, surtout, une personne qui s’assume. C’est parfait. Ça ne fait qu’agrandir mes distances avec les autres. Comme je l’ai dit, je n’ai pas un gros égo. Je sais que je suis surdoué, intelligent, etc. Mais je sais que ça ne m’a rien apporté de bon dans la vie. Alors, je me fous totalement de mes talents. Par contre, je sais très bien que les autres méprisent le talent, ainsi que les gens talentueux qui méprisent les sans-talents. Alors, j’utilise ce faux mépris pour me séparer des gens. Mais bon, j’ai dit que je n’allais pas vous raconter toutes mes réflexions, alors restons-en au plus important : Je faisais royalement chier cette fille, et ça paraissait. Lèvres pincées, vêtements serrés contre sa poitrine, elle devenait une petite boule de rage, prêt à éclater n’importe quand. Après que j’aie tenté de défoncer la porte, elle ne semblait pas impressionnée. Elle croyait sans doute qu’un «Génie» comme moi aurait pu trouver une meilleure méthode plus intelligente pour ouvrir la porte, mais ce n’est pas plus grave que cela. Comme d’habitude, je m’en fous. Je ne tentais pas d’impressionner qui que ce soit, d’ailleurs.

Quant à cette autre fille, je n’ai pas grand-chose à dire sur son cas, parce qu’elle ne faisait rien d’intéressant. Elle aurait pu, évidement, sortir d’ici en un clin d’œil. Je ne suis pas con, tout de même. Je sais très bien qu’elle pouvait sortir d’ici quand bon lui semble, grâce à sa magie bizarroïde. Mais, pour une raison ou une autre, elle ne l’a pas fait. Tant pis pour elle. Elle ne semble pas vouloir nous tuer, ou nous laisser s’entre-tuer. En fait, je n’ai absolument aucune idée pourquoi elle s’est retrouvée en cet endroit. Une petite impulsion de curiosité, peut-être? Qui sait. Comme je dis depuis… toujours, je crois, je m’en fous. Ça doit être redondant, de m’entendre dire que je me fous de tout dans la vie, mais je suppose que c’est la vérité. C’est la vérité pour tout ce qui concerne cette école, du moins. Si seulement il y avait un moyen de s’échapper de ce merdier, là, enfin, je pourrais recommencer à vivre, au lieu de stagner dans cette prison académique…

Oh, en parlant de s’échapper, en voilà une qui a toujours de l’espoir! Ou peut-être est-ce de l’exaspération? Enfin, ça revient au même : après une longue, mais silencieuse respiration, Mademoiselle Vêtements Sales (je n’ai pas d’inspiration pour un surnom, d’accord?) a laissé tomber ses vêtements sales (Oh non! Le surnom ne fonctionne plus!) et a décidé d’élaborer les possibilités d’échappatoires :

-Les fenêtres sont trop hautes et je doute qu'on pourrait faire la courte échelle. Même si on pouvait, je ne le ferai pas. Manque de confiance. Mais les autres portes sont peut-être pas fermées à clés comme celle-là. On peut regardez... De toute façon, on a qu'ça à faire ici...

Comme elle est conne, cette fille. Il n’y a pas de solutions faciles pour sortir de cet endroit. L’organisateur de ce beau massacre s’est assuré qu’il n’y ait pas mille options de sortie. Or, il y en a plutôt trois, qui ne concernent pas la fuite : tuer, mourir, ou (l’option intelligente) laisser les autres échouer lamentablement et patienter à travers ce jeu. Ce dernier mot, il est essentiel. Le jeu. Tout ça, c’est un jeu pour lui. Et nous n’avons pas le choix d’y participer ou non. Je ne comprends pas pourquoi c’est si difficile à comprendre, merde! Par contre, je ne suis pas en train de dire qu’il faille commencer à tuer, ça non, Mais il faut comprendre que lorsque quelqu’un mordra encore à l’hameçon, nous n’aurons pas le choix de le condamner à mort. Et par ce geste, ce tribunal, nous participons obligatoirement au jeu. C’est aussi simple que ça. Pas de sorties secrètes, pas de fenêtres déverrouillées, rien. Rien d’autre que ce jeu à la con. Malheureusement (ou peut-être heureusement?) cette fille n’est pas télépathe, alors elle n’a rien entendu de cette réalité. Et je doute qu’elle la comprenne par elle-même. Donc, elle commençait à vérifier les portes, les fenêtres, enfin, tout ce qui pouvait être vérifié. C’était inutile. Par contre, elle voulait me traîner dans son inutilité, à présent. Elle voulait vérifier une autre fenêtre, plus petite, plus près de nous, mais toujours hors de portée. C’est normal, que les seules fenêtres non-barricadées soient hors de portée. À quoi bon servirait de les barricader avec des plaques d’acier, si elles ne peuvent déjà pas servir de sortie? Encore une fois, Mademoiselle Mon Surnom Ne Me Décrit Plus n’a rien compris, et s’est maintenant retournée vers moi et dit :

-Lève tes fesses et viens m'aider. Je veux tester la petite fenêtre. Si elle, elle est pas fermée, peut-être que les autres aussi. On pourrait fabriquer un escaliers avec des meubles, si elles sont pas fermées.

Je dois l’avouer, c’est assez débrouillard, comme plan, mais si inutile. Bon, il va falloir que je joue le méchant, encore une fois. Le retour à la réalité, à la logique. C’est inévitable, je suppose. Un fardeau imposé par mon intellect. C’est toujours aussi décevant, par contre, de voir les autres manquer de logique. Les idiots continuent leurs raisonnements erronés, et les gens modérément intelligent, comme cette fille, voient leurs idées se faire embrouillées par leurs émotions. C’est triste, ou pathétique, ou je ne sais quoi. Mais ce n’est pas logique, ça, c’est certain. Bref, sa folie, et son discours, continuent, même s’ils n’ont aucune raison d’exister :

-C'est juste une idée comme ça. Pour l'instant je veux juste tester les fenêtres. Et pour ça, j'ai besoin de toi.

Ça devait être difficile à admettre, ça. Après son long soupir, c’était évident que ces paroles étaient les dernières qu’elle voulait prononcer. C’est plutôt marrant de voir jusqu’à quel point les gens sont désespérés, et je ne parle pas du «Désespoir» exagéré dont parle ce nounours à la con, mais bien du désespoir normal. C’est drôle de voir à quel point les gens doivent faire des sacrifices, oublier leur orgueil, leurs valeurs, afin d’accomplir ce qu’ils veulent dans cette école. C’est drôle, mais en même temps, comme toutes choses que les gens normaux font, c’est triste. Le tout fait un beau paradoxe, non? Bref, je pourrais développer un grand monologue sur le cas étrange de l’être humain, mais je n’en ai pas envie en ce moment. D’ailleurs, je n’ai pas très envie d’aider cette pauvre fille avec ses projets insensés, non plus. Pourquoi? Parce que je connais déjà la réponse à toutes ses questions. Et c’est beaucoup plus simple de lui présenter cette réponse que de lui servir de monture, ou je ne sais pas trop quoi, vu que je ne connaissais pas réellement son plan. Alors, je me levai, tel que demandé, mais je ne m’approchai pas d’elle. Au lieu de ça, je commençai à parler :

-Ces fenêtres sont toutes verrouillées, et, malgré l’absence d’armes à feu pour tester mes dires, elles sont très résistantes, voire même pare-balles. C’est une précaution prévisible de la part de «notre ami» le principal-nounours, en considérant que ce sont les seules fenêtres non-barricadées de l’école. J’ai déjà tout testé. Nous sommes coincés ici. Cette porte, là, que tu as tenté de crocheter, elle menait à un placard pour ranger l’équipement sportif.

Après une petite pause, je poursuivis mon discours :

-Si j’ai perdu mon temps à fouiller tous les recoins de cette école, c’était bien pour y trouver une échappatoire. Et je peux t’assurer qu’il n’y en a pas.

En même temps que je parlais, je voyais mon ombre imiter cette fille, puis son ombre en train de m’imiter. Alors, je me retournais vers cette autre personne et dit :

-Tes petits tours n’impressionnent personne, alors tu peux arrêter.

J’en avais marre de ces deux filles! Ça fait à peine quelques minutes que nous sommes coincés ensemble et j’en ai déjà marre! J’ai marre de tout le monde qui se trouve dans cette école, merde!  C’est exaspérant, c’est terrible, c’est ennuyant, c’est de la fichue merde, bordel! Je retournais m’asseoir. Il fallait que je me calme. En dehors, rien de tout ça ne paraissait. J’ai l’habitude de ne pas montrer mes émotions, de garder mon sang-froid. Mais là, il faut que je sois calme intérieurement, aussi. Donc, je vais prendre deux secondes, le temps de me répéter ce qu’Emi me disait toujours. Quelles sont ces paroles? Ça restera secret pour le moment. Mais je peux vous dire que c’est très simple et, pourtant, ça m’a aidé à traverser les moments les plus difficiles de ma vie.



Alors, mes deux secondes s’étant écoulées, je soupirai et dit :

-Donc, je répète ma question : On fait quoi, maintenant?
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