Teston notre chance [PV Hoshizora]

Voici donc la fameuse Mono-machine, rien de plus qu'un simple distributeur comme ce qu'on vois partout.
Un peu déçu, je mis 20 pièce a l'intérieur en espérant tombé sur quelque choses d'intéressant et d'utile, quelque choses a boire serait parfait.
J'avais confiance en ma chance, même si j'étais bien plus chanceux dans les jeux que dans la réalité, mais bon.
Je mis alors en route la machine.

-Allez ! Donne moi quelque chose de bien !

En excluant l'île dense, l'astronome était allée partout, et aucun signe de la personne qu'elle recherchait, juste de la fatigue accumulé probablement pour rien. Soit ce type la fuyait, soit il était sur la plus grande île du lieu et ça allait être la chienlit pour le retrouver, soit c'est parce qu'il bougeait en même temps qu'elle ce qui expliquerait qu'elle ne le voie pas, soit elle avait autant de chance que d'utilité, c'est à dire aucune.

Du coup, elle allait voir à la mono-mono machine en espérant qu'il y soit et que le blondinet s'en soit allé, mais il faudrait pas mal de chance alors. Si elle le trouvait, tant mieux, si personne n'y était, elle jouerait un peu, si le blond était là, elle s'en irait, que l'autre soit là ou non. Mais au vu du nombre de fois que la chance lui avait souri, autant ne pas trop en attendre, car après, elle retournerait se reposer dans sa tente, surtout ses nerfs en fait, mais bon, autant continuer.

C'est alors qu'elle retira ce qu'elle pensait quant à sa chance qui avait enfin décidé de lui donner un coup de pouce. Voilà le Shouheki, pile au bon endroit qui plus est et sans Crieur Public n°1 pour couronner le tout. Elle était soulagée dans un sens, car interagir avec lui devrait normalement lui être utile, pas énervant, et l'une des dernières choses à faire avant de passer en "cavalière solitaire de l'ombre". Il faudrait qu'elle change de nom mais l'idée y était. Désormais, il ne manquait plus qu'à définitivement confirmer sa thèse, elle déciderait de la suite après, c'était convenu...

Mais problème. Encore ce fichu problème, comme avec Shae. L'approche. Comment approcher quelqu'un quand on était muette ? Problème apparemment éternel si elle voulait conserver son mutisme. Soit, elle se posait pas loin en attendant qu'il finisse et qu'il la remarque, sinon elle l'interpellait par une tape sur l'épaule. Certes elle avait eu la chance de le trouver, mais devait-elle pousser jusqu'à celle de se faire remarquer ? Non, mieux ne valait pas forcer pensa t-elle en s'approchant du Flemmard avant de lui taper le plus doucement possible sur l'épaule. Autant ne pas brusquer quelqu'un qui pourrait nous être utile.

La machine semblait prendre sont temps pour me donner ma récompense, mais je savais me montrez patient, c'est alors que je sentis quelque choses sur mon épaule.
En me retournant pour voir ce que c'était, je vis une fille dont je ne connaissait pas le nom, de ce que j'avais vu d'elle, elle ne parlait pas beaucoup, voire pas du tout et je me demandais si elle n'était pas muette.
Je ne voulais pas la faire fuir en l’interrogeant la dessus, mais je me demandais ce quel pouvais me vouloirs... à évidement...

-Tu est là pour la machine ? Désolé, j'attend toujours mes lots, mais je te la laisse quand je les aurais.

Il n'y avait aucun moyen qu'une fille vienne me voir moi de toute façon...

La machine semblait mettre du temps pour fonctionner, à se demander si il n'y avait pas eu de problèmes dans sa construction. Elle voulait quand même tester elle aussi, car à plusieurs, on avait des chances d'arriver à avoir l'objet désiré. Mais maintenant qu'elle avait l'expert informatique sous la main, le distributeur pouvait attendre un bon bout de temps. Elle comptait avoir des réponses intégrales à ses questions et il était celui qui était le plus à même de lui servir. Alors autant mettre un peu d'eau dans son vin.

Et oui, elle était là pour la machine mais ce n'était que la deuxième priorité. Au moins, il ne semblait pas trop surpris de la voir, c'était un bon point. Se connaissant, elle se serait directement excusée, politesse oblige. En parlant de ça, elle ne s'était jamais présenté à lui, ce qui risquait de ne pas arranger les choses si elle voulait que la première priorité soit exécutée comme elle le voulait. Pourtant, elle trouvait ça...sympa, qu'il pense qu'elle n'était pas là pour lui, certes, elle ne voulait voir presque personne ici, mais au moins il ne faisait pas preuve de présomption. Par contre en voyant son air...blasé...elle espérait ne pas ressembler à ça étant donné qu'avec l'air absent, c'était le deuxième visage qu'elle arborait. Sortant alors son carnet, elle se mit à écrire assez vite.

"Bonjour à toi Shouheki-san, je me présente, Mitsuki Hoshizora et comme tu l'as peut-être deviné, je suis muette. Je t'ai cherché partout et si je suis là c'est parce que j'ai besoin de ton aide, si on peut dire ça comme ça."

Je vois, Mitsuki Hoshizora, muette, elle ma cherché partout... hein ?
Elle était vraiment là pour moi !? Je repris mon calme en lisant quel avais besoin de mon aide.
Non, elle était là pour l’informaticien, pas pour Shousha Shouheki, c'était malheureusement souvent comme ça.
Cachant ma déception, je lui répondit calmement.

-Ravie de te rencontré, de quoi a tu besoin exactement ? Tu le sais surement, mais mes capacité se limite a l'informatique et je n'ai pas l’impression qu'il y ai beaucoup de moyen de les exploiter ici.

En réalité, il n'y avait que deux chose qui semblait lié a l'informatique sur cette île.

-C'est a propos des livres de programmations dont Levis a parlé lors de la motivation ? Ou alors ça a quelque chose à voir avec ce Hacker ?

Il avait compris qu'elle n'était pas venue pour faire ami-ami avec lui, comme quoi il y avait des gens réalistes sur cette île, et c'était une bonne chose que ce soit le cas de la dernière personne avec qui elle allait communiquer...enfin peut être la dernière, tout dépendrait de l'issue de cette interaction. Par contre il allait falloir lui apprendre à mieux cacher ses émotions que ça, mais peut être que si elle n'était pas ainsi...là n'était pas le problème, une bonne partie de l'après midi était passée et il fallait faire vite ! Heureusement qu'il acceptait quand même de "l'écouter" malgré qu'elle ne voulait juste l'utiliser. Elle se mit donc à lui répondre par écrit.

"Merci d'éviter de mentionner le Zombie en ma présence mais passons, c'est en partie à cause des bouquins. Avec ça, les informations de Tsumiki-san et quelques concours de circonstances, j'en suis arrivée à la conclusion que nous étions peut être dans une sorte de jeu vidéo. Or mes connaissances dans le domaine sont quasi nulles et selon Blue-san, si c'était vraiment le cas, on ne serait que des données ne connaissant pas la faim, soif et tout le bordel. Mais j'ai vraiment du mal à penser à autre chose, d'où ma question : existe-t-il quelque chose de plus "puissant" qu'un jeu vidéo ? Je ne sais pas si je suis claire dans mes propos, désolée..."

Dans un jeu vidéo ? Cela expliquerais beaucoup de choses, mais si un jeu aussi réaliste était possible, j'aurais voulut joué sans misé ma vie.

-Même si nous étions des donnés, des variables aurait pu étre préparé pour mesuré notre niveau de soif et de faim, et tous comme un personnage meurt si c'est point de vie tombe a zéro, quand notre barre de soif atteint un niveau critique, on est affecté.
Le problème est que si nous somme dans un jeu, ça implique que chaque paramètre de notre corps a été pensé et définie en tant que variable et que tous les état que l'on peut traversé dans la réalité on été envisagé...

Si je continuait dans les détails, je risquais de la perdre, il fallait que je revienne a ça question d'origine.

-En bref, si c'est un jeu, il faut une connaissance parfaite de l’être humain et des phénomène physique pour le créé.
Maintenant, définir quelque choses comme plus puissant qu'un jeu vidéo est difficile...

En y repensant, si c'est un jeu vidéo, il n'ont aucune raison de mourir en vrai si il meurt dans le jeu, a moins que...

-Il est aussi possible que chaque action dans le jeu affecte notre vrai corps, imagine que nous soyons tous endormis, avec des perfusion prête a nous fournir nos besoin en eau et en nourriture.
Ici, nous ressentons ce que ressent notre vrai corps, et quand nous buvons et mangeons sur l’île, les transfusion s'occupe de notre vrai corps.
Je sais que ça peut paraître ridicule, mais quand tu me parle de quelque choses de plus puissant qu'un jeu vidéo, je ne peux que pensé a un jeu où le vrai corps est directement utilisé.

Sachant son faible niveau dans le domaine de prédilection de son interlocuteur, la Hoshizora avait commencé à noter ses dires, pour ne pas oublier et au cas demander des précisions. Cependant, elle n'avait pas terminé, pas parce qu'il allait trop vite, au contraire, elle avait remarqué que le Shouheki ne voulait pas l'enfoncer dans le brouillard. Si elle avait arrêté, c'est parce que ce qu'il disait était...intéressant, peut être parce qu'elle n'y connaissait rien mais elle était sûre de ne presque rien oublier. Mais non ! Elle n'avait pas du tout pensé à lui demander de lui en apprendre plus si ils s'en sortaient ! Et puis avec sa tête, on sentait qu'il méritait son surnom de Flemmard alors...

Cependant, elle dut repasser plusieurs fois les propos du garçon pour mieux les assimiler, qu'elle se sentait nulle sur ce coup. Mais au moins, elle avait reçu la globalité des informations qu'elle voulait, en fait, il lui semblait avoir entendu deux hypothèses, et si elle ne se trompait pas -ce qu'elle espérait- la deuxième pourrait s'appliquer à leurs personnes, -après tout, ils avaient été rendus inconscients- et la première à leur environnement. Mais il manquait la raison de tout cela...et une légère précision qu'elle se mit à vite écrire sur son carnet.

"Ce que tu dis est assez plausible, enfin je crois, je n'y connais vraiment rien désolée. Mais, si l'un de nous venait à mourir ici, qu'arriverait-il à son vrai corps ? Je veux dire, pour que le "nous" actuel ressente le fait qu'il va mourir, cela reviendrait-il à appliquer la même chose sur notre vrai "nous", ou seulement à ce que la mort soit perçue comme une variable comme tu as dit tout à l'heure ?"

Elle hésita alors quelques instants à lui montrer ceci, mais peut être qu'il serait plus utile de donner la raison de ses questions.

"Sérieusement, ça me file l'impression qu'on est des rats de laboratoire si ton raisonnement est bon."

Elle semblait trouvais ma théorie plausible, mais sérieusement, quel malade imaginerais a un système comme celui là... enfin, je sais que je viens moi même d'y pensé, mais c'était seulement parce que les informations que j'ai actuellement mon mené a cette idée... j’espère.
Il fut sortit de ses pensé par le bruit d'écriture.

-Des rats de laboratoire ? C'est pas faux... la question est que font t'il des rats qui on échoué au test.
Si on pense qu'on ressent ce que ressent notre vrai corps au niveau de la soif et de la faim, ça veux dire qu'il sont prêt a nous laissé mourir de soif ou de faim dans la réalité, et donc notre mort leur importes peu, ce qui veut dire qu'il est possible qu'une mort ici nous tue dans la réalité.
L'autre possibilité et que la soif et la faim soit intensifié par apport a ce que ressent notre vrai corps, de cette façon, on les ressent a un niveau mortel avant que notre vrai corps soit dans un état critique, et on se réveille dans la réalité a ce moment, même chose si on est tué ici.
Mais ça, c'est la théorie optimiste selon la quel il joue juste avec nous mais n'ont pas vraiment l'intention de nous voir mourir.

Je dois avouez que j'avais tous de même du mal a croire que cette situation soit une sorte de simulation, mais la discutions était intéressante et mes théorie avait tous de même une certaine logique, et je dois dire que j'aimerais largement que ma théorie la plus optimiste soit vrai.

Encore une fois, deux réponses possibles à sa question. Et encore une fois, les deux réponses étaient en partie correctes selon Mitsuki. Leur motivation actuelle était la soif, ce qui signifiait que les superviseurs voulaient un meurtre assez rapidement, et si possible, avant que quelqu'un ne soit déshydraté. Ce qui faisait que le fait qu'ils ne leur accorde pas tant d'importance était quelque peu erroné de son point de vue. Mais si ils parlaient de mort, impossible alors de se réveiller dans la réalité pile à ce moment. Il fallait peut être nuancer les deux thèses et les combiner...Dans un sens, pensa-t-elle en écrivant.

"C'est étrange, mais je pencherais plutôt pour la théorie optimiste, bien que je la nuancerais, personnellement : peut être que les sensations sont intensifiées mais si l'on meurt ici, je pense qu'on restera dans une sorte de coma, on pourrait même risquer de passer un autre test en oubliant l'ancien. Mais j'ai l'impression qu'ils cherchent plutôt à tester nos limites mentales avant de tomber dans un état de...détresse psychologique (je sais qu'il y a un autre mot mais je ne le trouve pas, désolée) capable de nous faire commettre un meurtre."

Quelque chose alors lui traversa l'esprit, quelle nota très vite. Pourquoi ? Parce que sur le coup, cela lui sembla utile.

"En parlant d'optimisme ! Peut être que si on a l'optimisme suffisant pour se réveiller, il y a une chance -assez faible en revanche- que après notre mort dans ce monde, on revienne à la réalité...enfin...j'aimerais croire en cette issue."

En effet, cela n'avait paru utile que sur le coup, encore une fois, elle avait sorti une totale ineptie...

L'optimisme de cette fille me fit légèrement sourire, c'était le bonne esprit a avoir pour tenir ici, cependant, elle se dirigeait vers une théorie risquait.

-Je voudrais moi aussi croire ça... cependant, si on commence a pensé qu'on en sortira en mourant, l'idée du suicide risque de nous frapper dans les moment de crise, apparaissant comme une échappatoire valide.

je me mit a parlé d'une voix un peu plus faible en regardant au loin et en me remémorant le passé.

-Je suis bien placé pour savoir qu'un rien peu poussé une personne a foutre en l'air ça vie...

Une fois mon attention retourné sur Hoshizora, je repris notre discutions.

-Si cette situation est bien une simulation et que comme tu le dis, il cherche a testé nos limite mental... ça ne serait tous de même pas pour trouvé des moyen efficace de poussé au meurtre dans la réalité ?

En disant ça, je compris que les choses était peut étre encore pire, cette fois, un frisson me traversa entièrement et je devais surement étre devenus pale rien que d'y pensé.

-Une bêta-test... et nous somme les testeurs, ils vérifies que ce jeu fonctionne bien avant de l'appliqué dans la réalité !

Et voilà qu'il rigolait de l'inutilité qu'elle avait sorti, évidemment que ce n'était pas si simple ! De toute façon, elle en était persuadée, les suicides ne suffiraient pas, si il n'y avait pas de meurtre, le jeu ne se terminerait probablement pas de si tôt. Il devait y avoir autre chose, une autre porte de sortie. Après tout, ils avaient été embarqués ici, pourquoi ne pourraient-ils pas sortir. Sérieusement, dès qu'elle serait en meilleure forme, elle irait investiguer l'île dense et la cabane en bois, aussi bien pour vérifier les informations de Crieur Public n°1 que pour les compléter.

Mais la priorité du moment n'était pas ici directement. En demandant l'aide du Shouheki, elle l'avait entraîné avec elle dans les rôles de "ceux qui en savent trop", du moins, si sa théorie était juste. Elle avait appris de son père que ces gens là étaient souvent pris pour cible, encore plus si ils faisaient comme le Hie, afficher qu'ils en savaient autant. Elle devait donc, au même titre que son compagnon de galère, dissimuler leurs informations sans les oublier pour autant. Sauf qu'elle n'avait pas le choix si elle voulait servir à quelque chose dans l'avenir. Oui, cette conversation l'avait motivé à rester dans la course et découvrir ce qui se cachait derrière tout ça.

En effet, si elle se concentrait sur la dernière réplique, et le teint qu'il avait pris, cette possibilité était très probable. Conclusion : au moins l'un des deux devait s'en sortir pour empêcher cela, ou au pire, réparer les dégâts. Parce que si ils se trouvaient piégés dans un jeu de survie qu'il "testaient" pourquoi pas appliquer les mêmes blessures physiques et psychologiques à plus grande échelle, causant un incident sans précédent depuis les débuts de l'Humain ! Cela, en revanche, sonnait comme du mélodrame et il faudrait être sacrément fou pour préparer tout ça...quoique pour piéger les seize d'entre eux ici, il ne fallait pas être sain d'esprit non plus.

Elle arracha alors le feuillet de la précédente conversation pour le déchirer en mille morceaux avant de les jeter au loin, laissant vents et marrées faire leur travail. Puis nota quelque chose sur les deux feuilles suivantes avant de les arracher et de les plier en deux. Elle en garda une dans sa poche et écrivit sur l'autre coté de la deuxième : "Cette conversation n'a jamais eu lieu" avant de le donner à son interlocuteur.

Cette conversation n'a jamais eu lieu:

Désormais, il fallait détourner la discussion, autre domaine où elle n'était...pas douée...ce qui faisait beaucoup de domaines, preuve de son inutilité. Puis, ce n'était pas comme si il y avait grand chose dans les environs...juste une machine qui prenait tout son temps à donner ses lots...et c'était le seul truc qu'elle avait trouvé pour ne pas retourner sur une des répliques de l'expert informatique qui ne voudrait certainement pas en parler. Elle comprenait, même elle pouvait difficilement aborder certains sujets. Elle nota donc.

"Elle en met du temps cette machine ! C'est pas une arnaque au moins ?"

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